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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 09:15

Le temps de la réflexion est maintenant derrière nous, derrière vous, il faut voter demain !

Au cours des 26 derniers jours, je me suis efforcé de dresser le bilan de la gestion socialiste du département depuis mars 2008.

En résumé, comparons ce qui est en jeu :

Ce que nous avons laissé fin 2007 :

·         des équipements réalisés grâce à l’action directe du Conseil général ou au soutien apporté aux communes et que vous ne voyez plus tellement ils font partie de votre quotidien : écoles, crèches, gymnases, collèges, salles culturelles, gendarmerie, casernes de pompiers, centre universitaire et grandes écoles, autoroute A104…. ;

·         une situation financière saine et jugée satisfaisante par la Chambre régionale des comptes dans un rapport dont je vous invite à prendre connaissance sur le site de l’Union pour le Val d’Oise (http://www.uvo.fr/) plutôt que d’en écouter les fausses conclusions de Didier Arnal et de sa « pseudo-majorité » ;

·         une gestion et une administration expérimentée au service de tous les Valdoisiens, sans clientélisme ni parti-pris ;

Ce que nous proposons pour 2011 :

·         redonner aux élus, au sein d’ un groupe uni et expérimenté, la place que le cabinet de l’actuel président et le service communication ont accaparée ;

·         restaurer la situation financière du département pour garantir l’avenir ;

·         faire du Val d’Oise un département qui « protège en développant et développe en protégeant » sans avoir besoin d’artifice de communication mais en agissant concrètement ;

·         redonner au Conseil général le rôle de principal partenaire des communes ;

·         agir et non communiquer pour faire pleurer sur ce qui manquerait ;

·         des propositions concrètes : « voir nos 11 propositions pour 2011 » ;

Ce que les socialistes nous laissent aujourd’hui :

·         l’image d’un groupe désuni, qui a cédé le pouvoir à un cabinet omniprésent, mais qui, pour donner l’illusion, se présente avec un programme de dénigrement du gouvernement pour garder le pouvoir et ses petits avantages ;

·         un président qui n’a pas su conserver au Val d’Oise une image dynamique et qui pavoise le département de ses incapacités à assumer sa responsabilité avec son discours favori : « c’est pas moi, c’est le gouvernement et l’ancienne majorité » ;

·         une situation financière catastrophique avec un endettement qui a progressé de plus de 62%, des charges de train de vie qui ont explosées, une rupture avec la politique d’équipement des territoires ;

·         des promesses non tenues : le Val d’Oise n’est pas l’Eco-département annoncé mais bien celui qui est classé en dernière position pour son absence d’action en la matière ;

·         des dispositifs dont on nous vante les mérites mais qui, pour certains, avaient été initiés par la majorité d’avant mars 2008 : « Rest’Ocollège » et «Aide au permis de conduire » dont les coûts de fonctionnement ont explosé du fait des amendements socialistes ;

Ce qu’ils nous proposent pour 2011 :

·         de faire de cette élection un sondage en vue des élections présidentielles de 2012 pour éviter d’avoir à faire des propositions concrètes, pour le département et canton par canton, en vue de restaurer cette situation catastrophique;

·         de constituer une majorité élargie mais que les diverses candidatures vont fragiliser si par malheur les candidats Socialistes, Communistes, Front de gauche et Verts devaient se retrouver à décider de l’avenir de nos routes ou de notre sécurité pour ne citer que ces exemples ;

·         enfin de faire ce qu’ils n’ont pas fait avec des finances qu’ils n’ont pas su et qu’ils ne sauront pas gérer ;

En résumé, si l’on regarde les longues listes des candidats qui se présentent dans certains cantons, il y a deux questions à se poser : 

 1.      quelle est la politique qui peut le mieux garantir l’avenir de mon département et  donc mon avenir et celui de ma famille ?

2.      quel est le ou la candidat(e) qui est plus capable de m’assurer cette politique  au regard de l’expérience et des  résultats obtenus ?

Seuls les candidats qui se revendiquent de « l’Union pour le Val d’Oise » seront demain en capacité de former un groupe cohérent et garant de redonner au Val d’Oise un avenir !  

A lundi pour l’analyse du 1er tour.

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 09:13

 

2011 03 18 Zorglub jpgJ’ai débuté cet abécédaire avec A comme Arnal et je le termine avec Z comme Zorglub. Z est la dernière lettre de l’alphabet et j’ai souhaité finir avec un ton humoristique, d’où le choix du personnage dont le magazine Spirou a raconté les histoires.

Zorglub est un personnage de bande dessinée d’André Frankin et de Greg qui est un être mégalomane hors-norme doté d'un égo surdimensionné et animé d'une nervosité extrême….

Alors, même si « toute ressemblance avec une personnalité politique du département..., je me demande si dans la « pseudo-majorité socialiste » de notre assemblée départementale, il n’y aurait cependant pas un conseiller qui aurait des traits communs avec ce personnage.

2011 03 18 Comte champignacDe même, je me demande si en en cherchant bien il serait possible de trouver des ressemblances avec le Comte de Champignac et si les champignons que ce dernier cultive ne provoquent pas des réactions qui aboutissent à imaginer des dispositifs comme celui de la contractualisation. Mais le Comte de Champignac a également déclaré qu’il connaissait l’emplacement du « Livre à faire de l’Or » de Nicolas Flamel dont chacun sait qu’il était né à Pontoise. Si Champignac est bien dans notre assemblée, qu’il se désigne car les finances du département ont été tellement mises à mal que nous aimerions, à défaut de tas d’or, pouvoir renflouer le budget du Conseil général.

2011 03 18 Miss flannerEncore aurions-nous parmi nous une Miss Flanner qui a certes toujours de bonnes intentions mais une façon bizarre de les mettre en application…

Quand à Spirou et Fantasio, ne les cherchez pas, ces gentils personnages dont les aventures les amènent à affronter des gangsters divers et variés, ainsi que des dictateurs et autres savants fous dans des aventures incorporant humour, ils ne peuvent qu’être dans les rangs de « l’Union pour le Val d’Oise » ou parmi les candidats qui les rejoindront bientôt.

2011 03 18 Le-MarsupilamiAu fait, pendant que je suis dans mes rêves, si vous voyez également au sein de notre assemblée « Spip » ou le « Marsupilami » j’aimerai bien les rencontrer !

A demain pour un résumé d’avant 1er tour.

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 16:15

2011 03 17 Yin & Yang

Dans la philosophie chinoise, le yin et le yang sont deux catégories complémentaires, que l'on peut retrouver dans tous les aspects de la vie. Cette notion de complémentarité est propre à l'approche orientale qui pense plus volontiers la dualité sous forme de complémentarité. Le yin représente entre autres, le noir, le féminin, la lune, le sombre, le froid, le négatif, etc. Le Yang, quant à lui, représente entre autres le blanc, le masculin, le soleil, la clarté, la chaleur, le positif, etc. Cette dualité est également associée à de nombreuses autres oppositions complémentaires.

Si j’ai choisi d’évoquer ces symboles, c’est parce qu’ils peuvent s’appliquer à la politique qui est aujourd’hui particulièrement duale : la droite et la gauche, qui est bien entendu complémentaire : l’expression démocratique des électeurs et la répartition des pouvoirs entre majorité et minorité et enfin parce que ces symboles sont représentés par deux couleurs et en politique tout n’est pas blanc et tout n’est pas noir.

Si je reviens à la campagne électorale et au fonctionnement de notre Assemblée départementale, nous avons deux groupes qui s’opposent sur des politiques, sur des priorités et sur la manière de mettre en œuvre ces politiques. Cependant, comme dans la quasi-totalité des collectivités, ces groupes s’accordent sur les délibérations proposées au vote qui concernent l’application des compétences générales en particulier.

Ce qui différencie ces deux groupes n’est pas pour autant négligeable et c'est la raison qui m'a amené à faire une critique du bilan de la gestion socialiste. Critique par laquelle j’égrène les différences qui nous opposent au moyen de l’abécédaire pour illustrer et comparer la gestion socialiste depuis mars 2008 avec celle de l'Union pour le Val d'Oise qui l'a précédée et permis de faire du Val d'Oise un département doté de nombreux équipements offrant un cadre de vie souvent préservé.

Ce qui différencie le groupe socialiste de Didier Arnal avec le groupe « Union pour le Val d'Oise » :

·         une conception de la démocratie: Didier Arnal a refusé de prendre en compte le résultat du vote des Valdoisiens à la suite de l'invalidation d'un conseiller général de son groupe et de l'élection de Philippe Métézeau. Nous avons une idée nettement plus « Gaulliste » de l'expression du suffrage universel;

·         une volonté d'être au côté des communes pour leur permettre d'offrir les services indispensables aux administrés (jeunes, actifs, séniors...), de doter les territoires des équipements indispensables de proximité et non de distribuer « sous couverts de pseudo-soutien au pouvoir d'achat des ménages qui ne sont que de tristes vessies que les socialistes essaient de faire prendre pour des lanternes » comme l'exprime, exemples à l'appui, Arnaud Bazin dans le récent article de La Gazette du Val d'Oise;

·         une volonté de faire et d'agir plutôt que de faire-croire et de communiquer comme nous en sommes quotidiennement les témoins. De nombreux exemples comme le refus de financer les bourses d'insertion professionnelles en fin d'année 2010, le refus de sortir les travaux d'entretien de voiries de la « contractualisation », la mise en œuvre du quotient familial pour la restauration dans les collèges que les socialistes n'ont pas votés quand nous en avons délibéré, sous la gouvernance UVO en janvier 2008, et que les socialistes ont repris à leur compte en le baptisant « Rest'Ocollège ». Encore l'aide au permis de conduire que nous financions dans le cadre des bourses d'insertion professionnelle destinées aux jeunes entrant dans la vie active et qui devenu un droit pour tous prélevé sur l'impôt;

·         une méthode de gouvernance qui permet au débat de se tenir dans le respect de tous et non, comme le pratique Didier Arnal, qui utilise constamment l'invective, l'agressivité, voire l'inobservation des règles établies;

·          et d'autres différences encore...

Alors oui, il est temps que le Conseil général du Val d'Oise retrouve l'esprit du Yin et du Yang, c'est à dire le juste équilibre dans la forme et sur le fond de son action.

Pour cela, il y a ces élections cantonales et les candidats soutenus par le groupe Union pour le Val d'Oise ».

A demain avec Z comme ZORGLUB

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 13:13

2011 03 16 inconnuX signifie l’inconnu. Et des inconnues il y en de nombreuses pour ces élections cantonales.

La première c’est le taux de participation que nous constaterons au soir de chaque tour. Il est annoncé particulièrement faible, aux alentours de 35 à 40%, ce qui serait un record puisque depuis 1961 le taux le plus faible enregistré est de 49% au premier tour et 47% au second tour en 1988, année ou l’élection cantonale n’était couplée à aucune autre comme cette année.

La seconde inconnue sera l’impact de la situation économique et sociale générale car en période de crise s’exprime une part de vote dit de « sanction » ou de « message d’alerte », voire la volonté de faire de cette élection un pseudo sondage en vue de l’élection présidentielle.

La troisième inconnue repose sur l’impact d’éléments plus géopolitiques avec en particulier les mouvements de « libération » et de démocratisation de certains régimes dans les pays arabes, et aujourd’hui celui de la catastrophe au Japon et ses conséquences environnementales.

Il y a encore certainement d’autres inconnues qui sont étrangères à la nature même de cette élection dont l’objet est pourtant de choisir le conseiller général de son canton et une ligne politique. Nous savons en particulier qu’une majorité d’électeurs ne sont pas bien au fait des compétences dévolues au Conseil général, que les promesses de certains candidats sont bien souvent inconsidérées et que la notion de proximité entre l’électeur et l’élu est importante.

Reste donc l’inconnue principale, qui seront les hommes et les femmes qui recevront le plus grand nombre de suffrages dans chaque canton et, troisième tour de l’élection, à quel futur groupe ces élus appartiendront-ils ?

Il y a trois grandes options :

Ø      soit le vote pour un des candidats qui se revendiquent de la gauche. Je remarque toutefois que ces candidats présentent une grande diversité d’option sur de nombreux sujets ce qui ne garanti pas une ligne politique claire et qui, à l’image de ce que nous vivons depuis trois ans, risque de provoquer demain des blocages au sein de l’exécutif. Quelle serait la position d’un tel groupe sur le bouclage de certaines voies de liaison pour le Val d’Oise (A104, Avenue du Parisis, raccordement A16/A86…). Quelle serait la position d’un tel groupe sur la mise en œuvre de la vidéo protection que le PS  refuse par démagogie mais installe dans les communes qu’il gère mais dont EELV ne veut pas en entendre parler…

Ø      soit celui en faveur des extrêmes, de droite et de gauche, vote qui ne pourrait demain que les mettre en situation, non pas de gérer, mais de bloquer toute décision importante pour les Valdoisiens. Avouez par exemple qu’il ne serait pas sérieux de faire de Monsieur Alexandre Simonnot, délégué départemental du FN, l’arbitre des décisions du Conseil général. Il a en effet du mal à évoquer les compétences du département et affirme être bien informé quand, dans un interview sur VOtv, il déplore que le Conseil général ait distribué des iPad à tous les collégiens (ce qui est totalement faux mais il a mal du lire un de mes articles), ou encore lorsqu’il déplore que les collectivités ne disposent pas de suffisamment de sel de déneigement alors que la France dispose du plus grand littoral marin …

Ø      soit enfin le vote que pour ma part je considère le plus sérieux et le plus utile, celui des candidats de la droite républicaine, qui reformeront une vraie majorité au sein du groupe « Union pour le Val d’Oise » pour redonner à notre département, au-delà de ses compétences sociales, les marges de manœuvres financières perdues et le rôle qui a toujours été le sien jusqu’en mars 2008 : être le partenaire privilégié des communes.

Ces candidats sont : Patrick Barbe, Arnaud Bazin, Michèle Berthy, Marie-Christine Cavecchi, Marie-Evelyne Christin, Daniel Desse, Geoffroy Didier, Guérric Jacquet, Jacques Kas, Gérard Lambert-Motte, Maurice Lefevre, Georges Mothron, Véronique Pélissier, Xavier Péricat, Jean Pichery, Jean-François Renard, Gérarld Sarizafy, Marc Sonnet et Stéphanie Von-Euw.

Il ne vous reste plus qu'à faire le bon choix !

 

A demain avec Y comme Yin & Yang

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15 mars 2011 2 15 /03 /mars /2011 07:00

2011 03 15 Week-endAvec le W, débute la série des lettres pour lesquelles trouver un mot pour poursuivre cette tribune débutée il y a maintenant 23 jours devient particulièrement difficile, je l’avoue.

Quand je l’ai débutée, je n’avais pas décidé par avance les mots que j’utiliserai et je les choisis au jour le jour, rédigeant la rubrique la veille au soir ou le jour même en fonction de l’inspiration du moment.

Alors pourquoi week-end. Premièrement parce que le dictionnaire n’offre donc pas beaucoup de possibilités, mais également parce que c’est au cours des deux prochains que va se décider la politique qui va être engagée pour les trois années à venir.

Il sera temps de faire le résumé des critiques que je décline depuis le A comme Arnal, mais je ne peux m’empêcher de préciser ici que le choix des électeurs est déterminant et quel est celui que j’appelle de mes vœux.

Soit ce choix s’exprime pour la poursuite de la politique de distribution et de dépenses électoralistes qui a déjà mis le Conseil général dans une situation financière qui, bien que volontairement masquée, est  catastrophique. Politique qui a pour conséquence une réduction importante de l’investissement et qui a rompu le lien de partenariat qui existait entre le département et les communes. J’aurai d’ailleurs pu retenir pour la qualifier le W de Wii, c'est-à-dire celui du jeu virtuel de la politique.

Soit le retour à une politique qui a permis au Val d’Oise de se construire et d’offrir à ses administrés, jeunes, actifs et séniors les équipements qu’ils utilisent au quotidien, sans clientélisme et également répartis sur les territoires divers du département.

Le vote est l’expression première de la démocratie. Il ne doit pas être utilisé, comme certains le souhaitent, pour conserver un pouvoir sur de faux arguments et/ou des promesses inconsidérées. S’agissant par ailleurs d’une élection locale il doit permettre de choisir les hommes ou les femmes qui apportent les meilleures réponses aux attentes des électeurs et non pas de censurer la politique nationale ou de mettre tel ou telle candidat(e) à l’élection présidentielle.

Le week-end prochain il faudra faire ce choix sans calcul ni volonté de faire passer un message, au risque de disqualifier le candidat que l’on souhaite voir élu au soir du second tour mais qui aura été éliminé au terme du premier.

Mon canton n’étant pas concerné, je ne voterai pas personnellement, mais je sais que dans le cas contraire je voterai pour le candidat qui porte les couleurs du groupe « Union pour le Val d’Oise ». Ils sont sortants pour certains, nouveau et nouvelles candidats pour d’autres, mais ils font tous déjà partie d’un groupe bien décidé à redonner confiance et à relancer la dynamique perdue depuis mars 2008.

A demain avec X comme X

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 11:19

2011 03 14 Vice présidentVoulant évoquer la gouvernance du Conseil général, j'aurai pu mettre un "s" à Vice-président.

L'exécutif socialiste est en effet composé, outre du président Arnal, de 11 vice-présidents et de 4 conseillers délégués. Soit 16 des membres de la "pseudo-majorité socialiste", sur 18 ou 19 membres (selon que l'on compte ou pas Monsieur Daviot qui a renié ses engagements) qui ont en principe une responsabilité officielle dans la gestion et la mise en œuvre des politiques départementales.

Je dis "en principe" car s'il y a ni plus ni moins de vice-présidents et de conseillers délégués aujourd'hui qu'hier sous la gouvernance "Union pour le Val d'Oise", nous sommes en droit de nous demander quelle aura été durant ces trois dernières années la responsabilité réelle exercée par certains d'entre eux.

En effet, alors que jusqu'en mars 2008, il y avait 9 commissions constituées entre majorité et minorité pour examiner et éventuellement amender les projets de délibération à soumettre à l'Assemblée départementale, il n'en reste plus que 4 qui se réunissent trois ou quatre jours avant la réunion de l'assemblée et qui, compte tenu du nombre de dossiers à examiner, ne sont réellement que des chambres d'enregistrement. Pas ou plus de débat de fond, pas de réunion pour travailler en amont sur les projets ou pour faire le bilan d'évaluation des politiques et dispositifs.

Pour ma part je participe aux travaux de la commission : Education, Jeunesse, Culture, Sport, Prévention, Sécurité. Imaginez les conditions qui nous sont données pour traiter correctement tous les dossiers particuliers concernés par ces compétences, en 2 ou 3 heures, trois jours avant la tenue de l'assemblée.

Il en est de même pour la commission a pour compétence : Environnement, Logement, Transport, Infrastructures, Politique de la ville.

Ces commissions ont un président officiel mais plusieurs vice-présidents y exercent des responsabilités (ce qui n'est parfois sans crispation entre eux).

Tout ceci n'est pas sérieux et traduit une volonté de concentration des responsabilités, ce qui ne nous surprend pas tant le cabinet du président  est omniprésent dans les décisions. Les membres du groupe socialiste ne le disent pas ouvertement, mais il est facile de sentir l'agacement et l'amertume de certains.

Mais que font donc les vice-présidents qui ne sont pas président de commission, à part bénéficier des avantages de la fonction ?

Je me priverai de citer des noms et me bornerai de dire que beaucoup ne font pas grand chose et qu'il est même fréquent qu'ils ne soient pas présents aux réunions de ces commissions. Pour preuve, notre groupe dispose souvent de la majorité au sein des commissions, notamment celle à laquelle je participe, mais également celle en charge d'examiner les contrats départementaux, déclinaison de la contractualisation avec les communes.

Il y a bien deux manières de faire de la politique. La première consiste à obtenir un pouvoir que l'on ne veut surtout pas perdre pour des questions de carrière et d'avantages. La seconde à rechercher le pouvoir d'agir pour apporter des réponses et des solutions aux conditions sociales et au cadre de vie des administrés.

Il est vrai que nous trouvons les deux catégories dans les différentes familles politiques et c'est ce qui donne crédit à la perception du "tous pourris" et à l'expression du "ras le bol" que les électeurs font valoir, en particulier dans les périodes de crise.

Certains membres de cette "pseudo-majorité", mais clairement pas tous, auront malheureusement fait la démonstration qu'ils se classent dans la mauvaise catégorie.

A demain avec W comme WEEK-END

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 08:00

2011 03 13 11 propositions pour 2011Une fois n'est pas coutume, avec la lettre U, je ne vais pas évoquer le catastrophique bilan de la "pseudo-majorité socialiste" du département du Val d'Oise comme je le fais depuis le 26 février, mais je vais évoquer notre groupe "Union pour le Val d'Oise" et présenter les "11 propositions pour 2011" que les candidats que nous soutenons s'engagent à mettre en œuvre avec nous.

Notre groupe est actuellement composé de 19 conseillers généraux, élus sous l'étiquette des partis de la droite républicaine ou non-inscrits. Si notre groupe est baptisé "Union pour le Val d'Oise" (UVO), c'est bien parce que pendant plus de 40 ans, ces conseillers généraux, et ceux issus de la même famille politique qui les ont précédés, ont partagé une même ambition pour notre département C'est ainsi que le jeune Val d'Oise a pu se doter d'équipements structurants, qu'il a souvent financé sans en avoir la compétence, mais avec le souci d'offrir un cadre de vie, un système d'éducation, des moyens de transports et des zones de logement et d'emploi équilibrées sur l'ensemble du territoire. Je peux citer les collèges qui sont passé d'un peu moins de 80 à 109 et ont été quasiment tous réhabilités pour être adaptés aux méthodes d'enseignement actuelles. C'est ainsi encore que la liaison autoroutière Cergy/Roissy a pu être réalisée tout comme le pôle universitaire de Cergy, grandes écoles incluses, qui accueille aujourd'hui près de 30 000 étudiants...

Il reste certes beaucoup à faire et nous déplorons que depuis trois ans, cette ambition et cette dynamique n'aient pas été au centre des préoccupations de l'exécutif socialiste.

Dix neuf candidats se présentent donc pour venir renouveler ce groupe et lui donner l'occasion de retrouver cette ambition et cette dynamique indispensables pour répondre aux attentes légitimes des Valdoisiens.

Voici nos 11 propositions pour 2011

1 Finances

Nous supprimerons immédiatement toutes les dépenses de propagande et de prestige

2 Routes

Nous lancerons un plan d'urgence de remise à niveau des voiries départementales et de soutien financier aux communes pour leurs propres voiries

3 Transport

Nous exigerons un rattrapage dans la qualité des transports, ferroviaires et routiers. Notre attention se portera tous particulièrement sur les lignes A, C et D du RER et la ligne H du Transilien. Nous moderniserons le réseau départemental pour désenclaver les territoires. Nous soutiendrons la mise en place d'un tarif unique pour le Pass Navigo. Le Val d'Oise sera mieux entendu dans le débat du Grand Paris

4 Aide aux communes

Nous reviendrons sur le "contrat départemental d'aide aux communes" et ferons en sorte que le département redevienne le partenaire privilégié des communes. Quel que soit le nombre d'habitants, nous soutiendrons la réalisation des équipements de proximité indispensables à la vie quotidienne des Valdoisiens (crèches, stades, écoles...)

5 Collèges

Nous activerons un plan d'adaptation, de modernisation et de création des collèges dans un esprit pragmatique d'anticipation. Nous favoriserons la réussite éducative des jeunes Valdoisiens de la maternelle à l'enseignement supérieur. Nous équiperons les collèges et leurs abords de systèmes de vidéo-protection

6 Environnement

Nous appliquerons le principe "protéger en développant, développer en protégeant". Nous établirons un plan pluriannuel d'action pour la préservation de la ressource en eau, de la mise en valeur des espaces naturels sensibles et l'adaptation aux exigences modernes de la collecte et du tri sélectif des ordures ménagères et d'activité

7 Prévention et sécurité

Nous mettrons en place un plan de tranquillité publique qui combinera l'aide au développement des polices municipales et de la vidéo-protection, en concertation avec les autorités responsables, les communes et les intercommunalités. Nous agirons sur la prévention en améliorant la coordination des différents partenaires. Nous adapterons nos dispositifs à toutes les formes de délinquance et d'incivilité

8 Social et solidarité intergénérationnelle

Nous organiserons de façon bisannuelle une conférence sociale qui réunira l'ensemble des représentants du secteur. Nous prendrons une plus grande part dans les efforts à accomplir vis-à-vis de nos anciens et des personnes handicapées. Nous expérimenterons la prise en charge des personnes dépendantes en accueil familial. Nous rapprocherons les services du SAMU et des pompiers du SDIS afin d'assurer la sécurité sanitaire des Valdoisiens. Nous ferons de la lutte contre les accidents domestiques, première cause d'invalidité, une grande cause départementale.

9 Aide personnalisée à l'emploi des jeunes et au logement étudiant

Nous créerons un dispositif destiné aux jeunes "Entrée dans la vie active" (EVA) qui élargira et adaptera les aides actuellement existantes : bourses, aide au permis de conduire, à l'acquisition du matériel professionnel, à l'inscription à des formations, à des concours... Nous soutiendrons les particuliers qui adaptent et ouvrent leur logement aux étudiants (location et/ou colocation)

10 Vie associative

Nous favoriserons l'accès à la culture pour tous. Nous rapprocherons la culture et les citoyens en ouvrant aux associations les locaux du conseil général, notamment les collèges. En matière sportive, la formation et l'éducation par le sport seront accompagnées de façon complémentaire avec le soutien constant à la réussite de nos clubs de haut niveau

11 Développement économique

Nous favoriserons la mise en réseau des acteurs économiques du département. Nous redynamiserons l'action économique du Conseil général en direction des PME/PMI et dans l'investissement des grandes infrastructures. Nous accompagnerons le déploiement du réseau de fibre optique en très haut débit.

A demain avec la lettre V comme VICE-PRESIDENT

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 08:19

2011 03 12 TransparenceAccessible, clair, compréhensible, précis… sont des synonymes de la transparence. En politique il est fréquent qu’une opposition réclame plus de transparence sur les actions entreprises, leurs coûts et résultats, bref que la majorité ne laisse pas les administrés dans l’ignorance et/ou le mensonge par omission, directement ou par le biais de leurs représentants, fussent-ils minoritaires.

Ne soyons pas hypocrites, ce manque de transparence touche les majorités sans distinction de couleur politique. Toutefois, il est pratiqué avec plus ou moins de fréquence et d’intensité.

La « majorité socialiste de circonstance » en charge de l’exécutif du département du Val d’Oise est cependant orfèvre en la matière et je vais tenter d’en donner quelques exemples compréhensibles par tous.

Notre groupe « Union pour le Val d’Oise » entend le discours du président Arnal, sans cesse répété, que l’Etat doit des centaines de millions au département et qu’il est difficile dans un contexte aussi incertain de pouvoir bâtir un budget. Dans le même temps, il affirme que les charges de fonctionnement et l’endettement sont maîtrisés et que l’investissement est à la hauteur de ce qu’il était avant 2008, ce qui est faux et particulièrement contradictoire. S’inquiétant de l’état des finances fin 2010, notre groupe « Union pour le Val d’Oise » a demandé pourquoi plus de 20 millions d’euros d’excédent de la section d’investissement ont servis à financer le déficit de fonctionnement et a exprimé le souhait qu’une séance spécifique destinée à examiner en détail la situation financière du Conseil général soit organisée. Pas de réponse si ce n’est que nous sommes censés disposer de toutes les informations à l’occasion des étapes budgétaires annuelles.

De même, notre groupe s’est étonné de ce que le débat d’orientation budgétaire pour 2011 se tienne à la veille des élections alors que le budget ne pourra être voté qu’après ces mêmes élections et ne soit qu’un catalogue de promesses non chiffrées. La réalité c'est que Didier Arnal et les candidats socialistes n’ont pas intérêt à ce que l’information réelle sur la situation financière du département soit connue car elle mettrait en évidence l’incurie de la gestion de ces trois dernières années.

Encore, s’agissant de la communication, Didier Arnal voudrait nous faire croire que les budgets consacrés aujourd’hui sont inférieurs à ceux de l’ancienne majorité. Qui peux le croire quand le service concerné a plus que doublé et que, depuis trois ans, nous voyons fleurir des messages sur tous les panneaux et abribus, sur les multiples publications du département mais aussi dans la presse. Encore quand de grandes manifestations particulièrement coûteuses, comme celle consacrée au transport qui n’a eu que très peu de public, se sont multipliées, ou quand de nombreux contrats sont passés avec des agences…

Cette façon de procéder ne répond pas aux exigences de la transparence.

Autres exemples qui touchent plus au mensonge par omission.

Le dispositif « Rest’O collège » qui est mis en avant depuis maintenant deux années comme étant une avancée voulue et décidée par cette « pseudo- majorité ». La réalité est qu’en janvier 2008, c’est bien sous la gouvernance de notre groupe « Union pour le Val d’Oise » que le dispositif du quotient familial pour la restauration dans les collèges a été voté. La vérité c’est bien que les membres du groupe socialiste ont alors voté contre cette délibération. La vérité c’est qu’après avoir été en situation ils l’ont repris à leur compte, modifiant certes au passage le prix appliqué sur chaque tranche du quotient mais se gardant bien de rappeler ces faits peu glorieux.

De même, s’agissant de l’aide au permis de conduire, le dispositif existait également avant mars 2008 dans le cadre des bourses d’insertion professionnelles mais il était destiné aux jeunes qui avaient un besoin impératif du permis, notamment pour trouver un emploi. Le dispositif nouveau est certes plus large, mais il a été dénaturé de son sens premier pour devenir une aide offerte à tous, payée sur le budget du Conseil général, générant au passage des coûts importants de gestion, sans que nous ayons pu obtenir une analyse claire de ce qu’il a réellement coûté.

Je pourrai encore citer la désinformation qui a été utilisée pour faire croire que l’abandon des aides à l’investissement des communes au profit du dispositif de la « contractualisation » marquait la volonté de l’exécutif socialiste d’apporter plus de moyens financiers à ces dernières. Le discours d’aujourd’hui est différent puisqu’il est avoué en coulisse qu’il s’agissait de faire des économies sur le dos des communes. Le peu de contrat signés et l’avis exprimé par une majorité de maire en est d’ailleurs la meilleure démonstration.

A demain avec U comme UNION 

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 15:26

 

2011 03 11 sportContrairement à ce que disent le président Didier Arnal et le vice-président en charge du sport Philippe Démaret, la réforme des collectivités territoriales, qui prévoit en 2014 l’élection d’un conseiller territorial par canton pour siéger au Conseil général et au Conseil régional, n’interdira pas le versement par le département de subventions aux associations et clubs sportifs.

Il est vrai que d’agiter le chiffon rouge sur une perte de compétence, même infondée, est plus facile pour cette « pseudo-majorité » que de devoir faire le bilan de l’action menée dans le domaine du sport depuis 3 ans.

Car ce bilan est particulièrement désastreux et nombre de clubs ne se privent pas pour exprimer ce qu’ils pensent du comportement de ce vice-président qui n’est jamais avare de promesses mais qui est absent quand il faut les tenir. Ils ne se privent pas non plus pour s’exprimer sur les attributions de subventions souvent considérées comme injustes pour ne pas dire teintées d’un favoritisme certain. Je rappelle s'il en était besoin que Philippe Démaret a qualifié lui-même le dispositif qu'il a fait voter et sa propre répartition des subventions aux différents clubs de débile !

Je ne nie pas qu’en la matière il soit particulièrement difficile de pouvoir répondre à l’attente des clubs qui se mobilisent sans compter, bénévolement dans la plupart des cas, pour animer des écoles, encadrer des équipes et assurer un rôle éducatif important vis-à-vis des jeunes en particulier. Mais les règles de la politique sportive doivent être claires et comprises pour être admises, ce n’est absolument plus le cas aujourd’hui.

Pourtant, le Val d’Oise est le département le plus jeune de la France métropolitaine et le Conseil général a en conséquence une responsabilité forte qu’il doit assumer en toute impartialité.

Si l’on se penche maintenant sur le rôle que cette « majorité socialiste de circonstance » a eu pour aider les communes à se doter des équipements sportifs, il faut une nouvelle fois rappeler que les aides ont fondu, les taux de subventions ayant dans un premier temps été réduits avant que ne soit votée la nouvelle bible de la contractualisation qui met les communes sous une véritable tutelle et leur interdit de mettre en œuvre de nombreux projets. Comme pour les écoles et les routes, l’examen des dossiers inscrits dans la soixantaine de contrats signés à ce jour montrent bien que les travaux d’entretien lourd et de réhabilitation d’équipements sportifs pour les 4 années du contrat sont peu nombreux et que la création de nouveaux équipements est quasi nulle. Ceci marque une nouvelle fois l’abandon du partenariat privilégié avec les communes, qu’avait noué, sans favoritisme, notre groupe « Union pour le val d’Oise ».

Il est temps de recrédibiliser le département auprès du monde du sport et pour cela de renvoyer ceux qui sont responsables de ce gâchis au vestiaire.

Cela peut et doit se faire les 20 et 27 mars prochain.

A demain avec T comme TRANSPARENCE 

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 14:38

2011 03 10 RoutesS’il y a un mot qui est beaucoup prononcé dans le cadre de la campagne actuelle des élections cantonales, c’est bien le mot ROUTES. Qu’il s’agisse du manque criant d’entretien du réseau départemental, de la suppression de l’aide spécifique aux collectivités pour le réseau communal, mais aussi du retard en matière d’infrastructures dans notre département, nous l’entendons à chaque réunion et dans tous les débats.

Sur l’entretien du réseau départemental, les Valdoisiens ont de bonnes raisons d’être mécontents tant il est évident que la « majorité de circonstance socialiste » a réduit les crédits qui y étaient habituellement consacrés. Pour mémoire, en 2010 les budgets de fonctionnement et d’investissement pour l’entretien et la réalisation des infrastructures routières sont en nette baisse par rapport à ce que nous y consacrions jusqu’en 2007.

De même, le nouveau dispositif de la « contractualisation », cher à l’exécutif socialiste et qui remplace notre guide des aides à l’investissement des communes, a privé ces dernières de la capacité d’entretenir leur propre réseau. Pour s’en convaincre, il n’est qu’à regarder les quelques contrats signés à ce jour qui ne prévoient qu’en de très rares cas de travaux de voirie.

Mais la période électorale est propice aux promesses et les candidats socialistes, en particulier le président Arnal et le vice-président Muller, en charge des infrastructures,  nous annoncent un plan d’urgence pour les routes, plan que nous réclamons depuis quinze mois sans être entendus. Alors chouette, je l’avais d’ailleurs prévu, la période de Noël a été prolongée en Val d’Oise.

Soyons sérieux, cet exécutif n’a pas pour priorité de rendre attractif notre département mais plus de se maintenir au pouvoir en faisant, par clientélisme, la distribution d’aides sans en dresser le bilan en terme de coût et de rapport. On pourrait croire que la devise des socialistes c’est : « Les dépenses de fonctionnement avant l’investissement ».

Pourtant, au-delà du confort auquel ont droit les administrés, la facilité de circuler, l’offre diversifiée en matière de transport et la valorisation des territoires sont essentielles pour attirer les entreprises et donc pour créer des emplois et de la richesse. En la matière le Val d’Oise prend malheureusement beaucoup de retard par rapport aux autres départements de la région Ile de France. Les mois passés à se plaindre d’être mal servi dans le cadre du projet du Grand Paris, ajoutés à cette perte d’attractivité sont autant de coups portés à la dynamique historique insufflée par le groupe « Union pour le Val d’Oise » depuis plus de 40 ans.

Je n’ose imaginer ce que serait la position d’un exécutif constitué d’élus du PS, du PRG et des écologistes, voire du Front de gauche, sur le bouclage de la Francilienne entre le Val d’Oise et les Yvelines, sur la réalisation de l’Avenue du Parisis pour prolonger le tronçon actuel, de la jonction de l’A16 avec l’A86, voire de l’A15 avec le périphérique. Ils ont des positions très opposées ce qui nous garantirait une absence de décision certaine alors que ces liaisons sont réclamées par les entreprises qui sont ou qui souhaitent s’installer en Val d’Oise mais qui iront ailleurs si ces décisions ne sont pas prises rapidement.

« Là où il y a une volonté, il ya un chemin. » Cette citation est attribuée à de nombreuses personnalités, mais elle est de Lénine, voire de Lao Tseu. En matière de routes, il est clair que l’exécutif socialiste du Val d’Oise ne l’a pas fait sienne car il n’en a pas la volonté.

A demain avec S comme SPORT

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